Comment te sentir vivante malgré une rupture amoureuse compliquée ?

Elles sont de plus en plus nombreuses à dire stop ou à être stoppée dans un élan déjà atrophié par le nombre des années, qui a eu disons le un effet pas très concluant  sur leur vie.

Les femmes divorcées après 40 ans sont tellement:

Chiantes, drôles, elles ont un humour en décalage entre l'avant et le pendant .
Elles sont dans une course effrenée comme si cette dizaine était la dernière de leur existence, comme si aimer, baiser, se maquiller, draguer allait s'arrêter du jour au lendemain.
Je ne sais pas pourquoi elles se mettent en tête qu'après 45 ans leur vie ne vaut plus rien.
Enfin si j'ai ma petite idée.

Et cette vie là, elle a un tarif , un prix qui dégomme toutes les concurrentes. Pas une nouvelle vie au rabais, une vie qui éclaire enfin qui elles sont vraiment .

*As-tu cette envie au fond de tes tripes, d'être amusante, drôle et d'arrêter d'attendre l'approbation des autres ?
*Ressens-tu au fond de tes cellules, le cha-cha-cha qui te fait valser entre larmes et doutes et enfin l'accepter sans te sentir débile, fautive ?
*As-tu ce besoin urgent de te sentir sereine malgré la douleur ?

Comment se manifester "grandiose" après une rupture amoureuse, comment faire éclater enfin au grand jour toutes ces capacités qu'elles entérinent comme un vieux secret qu'elles ne doivent pas dévoiler .

Elles ont cette envie folle de danser, d'être bien dans leurs nouvelles pompes , de se sentir sereine , débarassée au plus vite de leur passé pour assumer enfin cette nouvelle liberté .

Mais voilà: la réalité est tout autre, complétement différente.

C'est un gâchis d'être restée mariée 20 ans, 30 ans, c'est un gachis que de tout plaquer après tant d'années.
Aucune ne part avec le coeur léger comme si rien ne s'était passé.

Cette femme elle se rend responsable de cet échec sentimental, rien ne lui est pardonné. Tout le monde lui tourne le dos.
Elle se sent responsable lorsque elle est quittée, préferant le déni, alors que bien entendu elle l'a vu arriver avant qu'il ne parte.

Quitter ou être quittée: le résultat est le même: l'abandon saignant d'une vie de couple à bout de souffle.

Et si rien ne change , si cet état morose dure, perdure: alors adieu à cette liberté de se sentir vivante.

Sais-tu quand une femme abandonne ?

Une femme quitte , s'en va quand elle a tout essayé. Elle n'est pas sur un terrain de basket à prendre quelques coups, à s'entrainer. Elle joue sur le vrai terrain de la vie et ce pendant de très nombreuses années: les bleus à l'âme, l'incompréhension, l'ignorance, les fausses excuses, les remarques désobligeantes qui fusent sans qu'elle n'ait rien demandé : elle encaisse tout sans broncher. Elle se persuade que les choses peuvent changer, elle se persuade qu'elle peut tout changer. A tort certes au vu du résultat.

Après un divorce, il est plus rapide de penser que l'on s'est trompée, que de le fustiger de reproches. Si si je t'assure: si tu souhaites avoir la banane, la pêche, la frite ( même si c'est pas un fruit) regarde directement là où toi tu aurais voulu dire STOP, revient sur ces nombreux moments où tu aurais eu l'envie de tout envoyer valser , sans te juger, sans le critiquer .
Tes peurs viennent de ce fait : celles de vivre la même vie qu'avant , celles de subir à nouveau l'écoute des playlists d'antant avec les mêmes morceaux.

Il est temps de dégommer ces peurs, pour te sentir vivante. Tu ne lui dois rien, tu as tout en toi.

A ses enfants qui lui reprochent d'avoir été trop et pas assez: aucun n'a vu et ne verra ses larmes couler le soir quand elle se couche, mouillant son oreiller.
Une mère s'inquiète, a peur, tremble, culpabilise et ne sait pas à qui en parler. Lui, leur père qu' elle essaye d'interpeller pendant des années en lui demandant de l'aide, lui le héro du "je ne sais pas trop" par tôt , rentre tard, l'évite .

Cet homme invisible que ses enfants idéalisent porte le beau rôle: celui du sauveur, toujours absent, jamais présent . On ne sait pas ce qu'il sauve et elles n'ont jamais réussi à le retenir, quand il fuyait .

Une femme abandonne quand elle sait qu'elle a échoué.

Un beau matin il y aura la goutte d'eau qui va faire déborder le vase.

Un jour elle s'assiera à côté de lui ou en face pour lui annoncer ce que lui même souhaite depuis des années: l'arrêt.
Elle demande le divorce.

De la même façon qu'elle sentira quand l'autre abandonnera la partie: soit en lui disant qu'il part, soit en la trompant.

Elle sait quand elle a échoué lorsqu'une de ses valeurs fondamentales est percutée de plein fouet. Alors elle jette l'éponge car il en va de sa survie.
Avant d'en arriver à cette solution de repli,  elle s'est abîmée pour tenter de comprendre toute une famille, de la sauver du naufrage.
Elle s'est abîmée en essayant de parler, de jurer, de prier, d'espérer . Et bien sur elle s'en veut de la tournure catastrophique et du tournant qu'ont pris ces dizaines d'années de ratage.

Elle est rongée par la culpabilité que l'autre lui tend comme un miroir déformant : les amis ne l'invitent plus, la société l'exclut comme si elle avait la gale, ses enfants vont lui tourner le dos . 

Il est grand temps de faire le ménage, de dépoussiérer ce qui obscurit ta vie.

C'est donc là où: soit elles restent dans la rancoeur, soit elles créent la suite du tableau: certes tout est à inventer, à colorier avec ses couleurs car rien mais strictement rien, ne parle de la femme qui divorce après 40 ans . Bon, ok à part la ménopause, son avant, son pendant ( enfin là c'est plutôt notre poitrine qui commence à pendre)  et son après qui est décrit comme un TRUC indigeste et qui te fait croire que ta vie est finie , il n'y a rien d'autre .

Mais il y a une nouvelle qu'elles ne savent pas: c'est que la ménopause te fait danser le rock, la salsa chaque jour et que cette transition c'est la plus magnifique de la vie: enfin libre, libérée de ce rendez-vous mensuel qui flinguait notre vie .

Durant ces quelques années il t'est demandé d'apprendre à danser sans style, sans connaitre les pas. Tu as juste à suivre le rytme effrené des bouffées de chaleur qui vont se déclencher suite à une émotion tenace qui s'amplifie d'une façon tellement énorme , que ça y est, cette fois tu y es: TAZ c'est toi.

Là tu te demandes si je suis normale ? oui je le suis parce que je donnerais tout pour revivre ces moments improbables où enfin tu peux avoir chaud, froid, te sentir en colère et la brailler mais surtout savoir que tu peux vivre cette transition, cette transformation dans la sérénité, la folie, la joie et qu'enfin tu peux te laisser t'exprimer librement .

Divorcer après 40 ans, la belle affaire pour qui ?

Et les voilà à la moitié de leur vie. Une moitié qu'ils ont vécu comme il se doit, en suivant une ligne sociale, professionnelle, familiale comme c'était écrit

Une femme, une grosse voiture, deux enfants, un chien, une maison et des traites. Des collègues de travail avec qui il reste tard le soir ( ça c'est la version officielle) , le ventre qui pousse à force de forcer sur la boisson, le gras, l'indigeste .

Un mari, une voiture de poche, deux enfants à élever en plus du boulot à plein temps, une maison à astiquer et des traites aussi à régler. Elle est obligée de rester seule pour surveiller les gosses, à attendre un miracle: qu'il rentre.

Franchement quand tu lis ça, rien ne donne envie. Mais les photos dans les magasines sont si belles avec les articles de la famille idéale qui battent leur plein plus la commission en prime qui va avec: celle de faire comme tous les couples qui "semblent" si heureux.
Alors ils ont essayé du mieux qu'ils ont pu d'en jeter un max à la figure du m'as-tu vu.

Les femmes après 40 ans, ne savent pas.
Les femmes après 40 ans, ignore que leur vie réelle commence maintenant.

Un autre petit shot ?

Comme elles ne comprennent pas bien ce qui vient de se dérouler, il se peut qu'elles remettent le couvert avec un nouveau zorro déguisé mais cette fois-ci sans le cheval au moins ça lui évitera de lui courir après pour lui dire que l'essai pour l'attraper au galot n'a pas fonctionné .

Comment je me suis trouvée dans cette errance ?

Je n'ai rien dit, j'ai encaissé. Je ne savais pas comment me comporter.
Je ne voulais pas d'un divorce long, je ne voulais pas faire de vagues, pour préserver mes enfants, même s'ils étaient grands.
Je pensais que ça serait simple, facile et non douloureux, puisque divorcer était la chose à faire. Puis le divorce a été prononcé et l'enfer s'est installé.

J'ai appris à faire semblant: mes enfants ne m'ont jamais vu chialer, hurler à la mort tant leur absence était un supplice .
Ils avaient choisi un camp: celui de l'autre qui n'avait jamais été là pour eux, jamais été là pour nous, jamais été là pour moi. Ils ont exprimé leur volonté de soutenir un père en larguant la mère avec ses voiles. Ils avaient assez profité de ma présence, maintenant il était temps pour eux de partir à la découverte d'un homme qui avait fui leur vie.

Du jour au lendemain il n'y avait plus personne: un raz de marée humain qui avait décimé mon histoire de 30 ans de vie commune, en un instant . Eux aussi avaient choisi leur camp.

Je me trainais en séance  sur mon divan, chez mon psychanalyste chaque semaine: c'était le seul endroit où j'espérais, les seuls moments qui me donnaient l'envie de continuer d'avancer. Pour être honnête je ne sais pas comment j'ai fait pour rester valide, debout. On survit sans trop savoir qui l'on devient.

Et j'ai appris: à délaisser cette union, à aller vers d'autres hommes sans me sentir de trop, pas assez , pas comme il faut . J'ai appris à dire stop de plus en plus tôt, à ne plus subir ce qui me torturait . Ils ne m'apportaient rien tant ma douleur était profonde, tant mon aveuglement avait été puissant vis à vis d'un époux que j'avais mis au sommet pour éviter de me regarder.

Chaque jour je les remercie de m'avoir aidée à ouvrir les yeux, certes dans la douleur, mais désormais je vois, je vis, je respire.

Durant cette apocalypse, j'ai découvert mes valeurs, les unes après les autres pour les mettre en valeur , des gens, des endroits.
Durant cette apocalypse j'ai appris à exprimer ma colère, ma rage, pour ne pas la déverser sur les autres, ni sur lui: tout me dêgoutait . A un point que je ne voyais plus mon psy, comment il était habillé, ni le temps qu'il faisait . Ce rendez-vous avec moi était une aubaine, un moment sacré.

Je me taisais toujours et encore pour ne pas alimenter ma peine, mon désespoir. J'avais cette impression d'avoir été condamnée par mes enfants, sans procés équitable.

Mais moi vivante je n'avais pas l'envie de perdre ce qui me restait d'infime à ce moment là: mon amour de la vie et surtout l'espoir.
L'espoir qu'un jour ce retour à moi que j'entreprenais serve à une cause mais aussi serve pour changer la donne familiale .

Alors j'ai appris à faire connaissance avec ma vie.
 
J'ai croisé des personnes qui sans le savoir m'offrait un havre de paix , de sérénité le temps de quelques heures: mes coiffeurs en font partie.

J'ai appris à échanger avec des chiens, des enfants, des femmes, des hommes, juste le temps d'un instant .

J'ai appris à supporter l'absence la plus cruelle: celle de mes enfants et j'en ai fait une force . 

Et avec le temps j'ai appris à aimer toutes mes facettes, à dire merde et au revoir à qui ça ne convenait pas. Mes enfants et mon ex-compagnon en ont fait les frais . Mais surtout c'est avec honneur que j'ai réussi ce tour de force pour clouer le bec à ceux ou à celui qui pensaient que je resterai là, sans changer, une bonne fois pour toute.

J'ai tout changé et je l'ai fait seule.

De cette douleur j'en ai extrait l'essentiel : vivre en me plaisant, en plaisantant .

Mais surtout j'ai découvert ce que nous les femmes on cache au fond de nous: un trésor et j'ai eu l'idée de partir avec vous le chasser, le découvrir au travers d'ateliers, d'accompagnement, de séances de groupe mais aussi de...

Pour Fanny ,voici son témoignage:

Pour vous toutes.

Pour te reconnecter à ta vie, voici ce que je te propose.

J'ai concocté une trousse de secours pour toutes les femmes qui subissent une rupture amoureuse.

Pour te faciliter la compréhension de ce que l'on vit après une rupture, j'ai réuni mon expérience en 5 étapes.

Je te donne également 3 clés essentielles pour éviter de t'enliser .
Et enfin j'y joins ma pépite, celle qui m'accompagne depuis des années.

Pour cela il te suffit de cliquer sur l'encadré pour te permettre d'inscrire ton prénom, ton nom, ton adresse mail et je te retrouve chez toi, dans tes mails ou dans tes spams.

A très vite, enfin à tout de suite.